Les oeuvres de Phatia...

Et oui, je suis un petit écrivain en herbe et ma passion est l'écriture de texte de chanson, que j'aimerais partager avec vous

Et si nos vies…

Je ne voulais de ça
C’est, ce qui hante mes craintes
Cette absence qui est là
Tout est partie d’une phrase
Je ne voulais de ça
Si je le pouvais, ce
Moment serait effacé

Que mon esprit s’envole
Dans ta loge
Je pense à toi
Que toute cette camisole
Se démissionne
Je veux de toi
Et si nos vies étaient ici
Je pense à toi
Et si nos vies étaient unis
C’était sûrement écrit

C’est comme les étincelles
Il faut le croire pour
Tout foutre en l’air
Si tu veux revenir
Tu n’as qu’à me le dire
La porte est grande ouverte
Pour toi…
Car un cœur t’attendra

Que mon esprit s’envole
Dans ta loge
Je pense à toi
Que toute ta camisole
Se démissionne
Je veux de toi
Et si nos vies étaient ici
Je pense à toi
Et si nos vies étaient unis
C’était sûrement écrit

Que mon esprit s’envole
Dans ta loge
J’ne pense qu’à toi
Que toutes tes joies rigolent
Te conditionnent ;
À venir là
Et si ta vie était ici
Tu es en moi
Et si nos vies étaient unis
C’était sûrement écrit
Reviens dans ma vie

Qu’avant ne vienne…

Il n’y a plus de monde autour de moi
Il n’y a plus de mot pour décrire tout
Ce qui se déchire, j’ai le cœur qui saigne
Peine…
J’ai tellement envie qu’il revienne en moi
Mes yeux coulent en peine vers mon cœur qui souffre
Ce qui me déchire, c’est de voir qu’il saigne
Et…

Peut-être…
Qu’il lui faut le temps de réfléchir
Peut-être…
Qu’il a peur d’être comme avant la Faux
Peut-être…
Qu’il lui faut le temps pour se construire
Peut-être…
Qu’il ne sait plus si c’est ce qu’il lui faut

Tant de nuit, de nouveau seul et
Tant de jour sans sentir son cœur battre. Tout
En lui se déchire, comme son cœur : il saigne
Peine
S’il me fallait trouver le courage et
S’il me fallait l’aider dans cette phase. Tout
En moi se déchire, c’est de voir qu’il saigne

Tout ce qui nous traverse :
L’apôtre gèle encore d’aimer
Qu’il nous guette, nous affaisse
Tant de gens se sont tués
Et même si l’aube se couche encore
Je veux sentir en toi
Cet espoir qui touche ton cœur : dort
Libère-toi de tout ça
Et que tout devienne aussi beau qu’avant ne vienne ce drame

Peut-être…
Qu’il lui faut le temps de réfléchir
Peut-être…
Qu’il a peur d’être comme avant la Faux
Peut-être…
Qu’il lui faut ce temps pour se construire
Peut-être…
Qu’il ne sait plus si c’est ce qu’il lui faut

Peut-être…
Qu’il faut que mon cœur saigne pour qu’il m’aime

Croire en soi et aux fables :

Même si l’océan est si frêle
Que la nuit me soit fidèle
La vie n’est pas aussi miel
Que ta mort te soit fidèle
Et si les peurs démentielles
Se décharnent de la lune, elles
Ne peuvent tuer l’aube et elles
Ne pourront te rendre plus frêle

Même si le froid fait si mal
Que cette nuit me soit fatale
Car la vie n’est pas banale
Que ta mort te fasse pas mal
Et les mots sont avals
Le cœur est amont. Étale
Dans l’espace ton goût du mal
Mais crois en toi et aux fables

Si ce n’était qu’un souffle de vie
Il n’y a plus un souffle de mélancolie
Si les orbes ne te sont plus fidèles
Il n’y a plus d’orbe dans la chair
Si les gens s’engouffrent dans la nuit
Il n’y a plus de cœur dans l’infinie
Si ce n’était qu’un souffle de mort
Il n’y a plus d’Ankou pour notre mort

Même si les morts surgissent en toi
Que tes nuits te rendent la foi,
En la vie qui n’est plus là
Que tes morts sombrent comme le roi
Et si le monde tourne comme toi
Il ne pourra t’aider là
Il te faudra plus que ça
Si tu veux mourir en toi

Chaque jours te perdent
Tant de mal
Tant de perte
Chaque maux te fendent
Dans ton cœur
Dans ta tête
Mais crois en toi et aux fables

Virevolte dans les cieux…

Tant que les erreurs seront de mises
La Rédemption sera soumise
Aux plus chers des cœurs qui tyrannisent
Les sens qui fondent en toi
Aussi…
S’il n’y avait plus le pardon pour taire
Le Mal qui nous traverse
Nous ne serions alors plus…

Tant de Mondes se sont écroulés
Et de vies qui se sont tuées
Qu’aux plus chers des corps vides d’âme
La transe se tourne vers toi
Aussi…
S’il n’y avait plus d’âme dans l’ombre
Le Mal serait l’averse
Nous ne serions alors plus…

Rien d’autre dans ce monde
Nous serions débris de rêve
Ne faisant plus la fête
Rien qui vaille de vivre, l’onde
Nous fera preuve d’une part d’écho
Partir comme une vapeur d’eau
Rien que l’ombre dans ce monde
Nous n’aurions plus le goût de vivre
Plus un seul équilibre
Rien ne vaut la paix sans faux
Nous serions alors ce qui fait
Qu’on est Roi

Tant que les cendres de la Terraformation
Nous usent jusqu’à la mortification
Au plus cher des mœurs de cession
Tout nous tue à cause de ça
Aussi…
S’il nous faut pardonner les fautes des Avants
Nous sommes le fardeau restant
Nous ne serons alors plus…

Que virevolte dans les cieux
La fureur des autres
Que ne sont, plus que Dieu,
Pas Rédempteurs des fautes…
Que virevolte dans les cieux
Il nous faut tuer Dieu
Que virevolte dans les cieux
Nous ne voulons plus croire en ceux…
Que virevolte dans les cieux
Il nous faut tuer Dieu
Et repartir dans le feu
Que virevolte dans les cieux…

Que s’essouffle la vie…

Tout ce qui compte dans cet univers
Ce n’est
Qu’être, plus ou moins des marionnettes
Quand les
Ombres se fourvoient loin de cette Terre
D’autres reviennent plus fortes encore que toi

Et qui que tu sois
Je ne te laisserais jamais faire
Et je serais là
Pour que tu ne puisses plus être l’Enfer
Et qui que tu sois
Je ne te laisserais plus rien faire
Que ne fasse du Mal
Reste à jamais loin de notre Enfer

Que souffle la vie loin de notre cœur
Nous lâchons prise loin de cet écho
Qui… ?
Que souffle la mort près de notre peine
Nous serons tous proches de ce lambeau
De chair
Que souffle la vie loin de l’infinie :
Elle n’est qu’un mort loin de notre univers
Que souffle la mort loin des limbes
Elle ne saigne que loin de notre Terre

Tout n’est qu’un conte dans cet univers
Mon Dieu
Il me faudra plus que mon âme
Pour que
Mon heure ne sonne dans l’ombre des choses
Je ne serais bien plus fort que toi

Et qui que tu sois
Je ne te laisserais pas faire
Et je serais là
Pour que tu ne sois plus l’Enfer
Et qui que tu sois
Je ne te laisserais plus faire
Qui ne fasse du Mal
Reste à jamais loin de notre Enfer

Que s’essouffle la vie…
Pour me nommer l’impie…

Et entrouvre l’univers :

Comme s’il me fallait d’un autre monde…
Que la foudre tombe deux fois en moi
Comme s’il fallait vivre dans une tombe…
Que se jette en moi le bout de l’ombre
Et bannisse… enfin la voie…

Comme si les douleurs donnaient au monde…
La mémoire de la fureur et
Comme si les mondes se transforment en tombes…
La punition serait que l’ombre
Et bannisse… l’éternité…

Que se tourne enfin la foi
Et entrouvre l’univers
Chaque passé
Chaque danger
Se tuent…
Que se vide encore une fois
Et entrouvre l’univers
Pour retrouver
L’astre d’acier
Et tue…

Quant au visage d’ange, la moralité
Est morte…
Que les présages meurent et la salvation
Se meurt…
Quant aux délices d’ange, pour retrouver et
L’arkange…
Que se détruisent les leurres et la salvation
S’arkange…
Toutes les vies se détruisent
Enfin…
Comme la nuit, elle est finit
La fin…
Toutes les peurs sont altruistes
Pour eux…
Comme la vie, nous sommes unis
L’égoïsme ne fait pas parti
Du jeu…

Comme s’il nous fallait un nouveau monde…
Que la peur se fourvoie dans les sens durs
Comme s’il fallait vivre dans un tombeau…
Que toutes nos peurs s’injectent dans leurs cœurs
Et bannissent… pour une fois…

Que se tourne enfin la foi
Et entrouvre l’univers
Chaque passé
Chaque danger
Se tuent…
Que se vide encore une fois
Et entrouvre l’univers
Pour retrouver
L’astre d’acier
Et tue…

Et tournoie…

Et tournoie
Dans le noir
Les bribes de rêve
La fièvre se frêle
Et tournoie…

Souffle sur la vie
Les anges se condamnent
Souffle sur la nuit
Les diables sont macabres
Et tournoie… tout
S’il m’était permis
Le monde tournerait à l’envers
Que tous ces souvenirs
Se meurent comme un éclat de verre
S’il m’était permis
Le monde ne serait plus pareil
Et tous mes souvenirs
Seraient la paix qu’on susurre à l’oreille

Et tournoie…
Souvenirs
Et tournoie…
L’infinie
Et reçois
Cette espoir
Et renvois
Tout ce noir
Et tournoie…
Souvenirs
Et tournoie…
L’infinie
Et tournoie…
Dans le noir
Désespoir
Tu perçois
Et tournoie…
Dans le noir
Et tournoie…
Une autre fois

Souffre sur la vie
Les anges monogames
Souffre sur la nuit
Les diables polygames
Et tournoie… tout
S’il m’était permis
Le monde mourrait enfin… là
Que tous ces souvenirs
S’oublient dans les limbes ou là
S’il m’était permis (et tournoie…)
Le monde nous aurait aimé et
Que tous mes souvenirs (et tournoie…)
S’oublieraient comme on susurre d’aimer

S’il m’était permis…

Le monde n’est que
Ce que nous voulons
Qu’il soit…
Rien de plus que
Des ombres qui meurent. On
N’est droit..

S’il m’était permis d’entrer
Je crois que je me tuerais…

Et tout va pour le mal
Qu’il soit doux ou fatal
Et tout va bien plus mal
Cette erreur m’est fatal

Le cœur n’est que
Ce que nous voulons
Qu’il soit…
Rien de plus que
Le Néant qui pousse. On
Meurt là…

S’il m’était permis d’aimer
Je crois que je me tuerais…

S’il m’était permis d’aller
Je serais bien condamné…

L’ombre des autres…

Si la douceur se voile
Le cœur se fait du mal
À vouloir aimer sans
Qu’un autre le tue tout l’temps
Mais les valeurs
Sont terreurs
Aux yeux de ceux…
Et quand les peurs
Font fureurs
Elles sont à eux…

L’ombre des autres
Me pourfend sans que
Les misères du monde
Se transforment en onde…

Mais les valeurs
Sont terreurs
Aux yeux de ceux…
Et quand les peurs
Font fureurs
Elles sont à ceux…

Quant aux âmes qui se donnent
Les pleurs crient et nous donnent
L’envie d’aimer et se
Voir plus qu’indifférence
Mais les valeurs
Sont terreurs
Aux yeux de ceux…
Et quand les peurs
Font fureurs
Elles sont à eux…

L’ombre des autres
Me pourfend sans que
Les misères du monde
Se transforment en onde…
L’ombre des autres
S’illumine en moi
Comme la chaleur… pleure
Et par des miracles d’lueur
Je suis soudain les autres
Et je me vois comme ça
J’ai pitié et je pleure
L’ombre des autres…

Mais les valeurs
Sont terreurs
Aux yeux de qui… ?
Et quand les peurs
Font fureurs
Elles sont pour qui… ?

I love you but I can’t…

De nouveau libre dans ma tête
Il m’est un cadre en ocre antique
Coulant ici et la Bête
Se frêle lorsque le moine se mystique
Dans les limbes
Se trouve toujours ce bout de moi
Que tu as tué ce soir là et
Ce cœur qui battait juste pour toi
Divague en Enfer, un lassé

S’il m’était permis d’y penser
Je crois bien que je me tuerais
Car dans les limbes
Il se meurtrit de tout
Et ces meurtrissures
Se prévalent d’un mal bien plus dur
S’il m’était permis d’aimer
Je crois que je me tuerais

Mais, tu sais que nos mondes
Sont incompatibles en tout
Et que nos cœurs se fondent
L’un dans l’autre s’ils se ressoudent
Crois donc mon âme :
Ce sanctuaire impénétrable…
Mais, tu sais que nos ondes
S’irritent quand la liberté
De l’un prime sur l’autre bombe
Il faut pouvoir nous libérer
Crois donc mon âme :
I love you but I can’t…

De nouveau libre dans mon cœur
Il m’est un monde d’obscures limites
Coulant ici et la Bête
Se libère du chagrin et insiste
Pour que tombe
Dans le noir les fêlures du moi
Que tu as créées le soir où
Ce cœur que tu as brisé m’a
Consumé et me libère du flou

S’il m’était permis d’y penser
Je crois bien que je me pendrais
Car dans les limbes
Il se meurtrit de tout
Et ces meurtrissures
Se prévalent d’un mal bien plus dur
S’il m’était permis de t’aimer
Je crois bien que j’en mourais

Comme l’épreuve des mondes :

Loin des terres qui m’on fait souffrir l’horreur
Toutes mes peines s’engouffrent dans tout l’éternel
S’il me fallait considérer comme acquis dans l’erreur
La vie n’a jamais été belle
S’il me fallait survivre dans les limbes et unir mes peurs
Je ne saurais être éternel
Loin des terres qui m’ont fait grandir l’horreur
Toutes mes joies s’éloignent de mon éternel
S’il me fallait considérer comme conquis dans la peur
La vie n’a jamais été belle
S’il me fallait survivre dans la peur d’être dans l’erreur
Je ne saurais être éternel

Je veux croire en l’avenir
Je veux devenir l’empire
Loin des ensembles dit souvenir
Je veux m’appeler l’impie
Je veux croire en l’impossible
Je veux devenir possible
Loin de toutes mes peurs impossibles
Maintenant, je suis l’impie

Loin des terres qui m’ont fait souffrir tant d’heures
Toutes mes craintes s’engouffrent dans mon éternel
S’il me fallait communiquer le sens de toutes mes erreurs
Ma vie n’aurait pas été belle
S’il me fallait dormir dans mes limbes et unir mes leurres
Je ne pourrais être éternel
Loin des terres qui m’ont fait agrandir l’heure
Toutes mes forces s’éloignent de mon éternel
S’il me fallait te réclamer les rancunes qui sonnent l’heure
Ta vie n’aurait pas été belle
S’il me fallait te ramener dans ma loi qui rime leurre
Tu ne serais être l’éternel

Et comme l’épreuve des mondes
Nous ne sommes que des ondes
Simple comme l’erreur des tombes
Nous faisons l’effet d’une bombe
Si je pouvais revenir en arrière
Je ne le ferais jamais
Et que sonne l’heure de ta nouvelle carrière
Va ! Je t’y laisse à jamais
Et comme l’épreuve des mondes
Nous ne sommes que des ondes
Simple comme l’erreur des tombes
Nous faisons l’effet d’une bombe
Si je pouvais te tenir dans ma sphère
Je ne le ferais jamais
Sache bien que toi seul est libre comme l’air
Va ! Et prouves leurs que tu sais

I want to see your face just once more
But I know that you can’t stay with me

Mourir de solitude :

Ce n’est pas qu’un au revoir
Ça je le sais plus que bien
J’aimerais bien te revoir
Mais, nos vies n’ont plus de lien
Même si tes lèvres
Ont fait de moi
Un éclat de toi
Tu ne seras plus auprès de mes lèvres

Je veux mourir de solitude
Faire devenir mon habitude
Tout doit disparaître dans le noir
Même si j’aimerais bien te revoir
Mais…
Je veux mourir de solitude
Faire devenir une attitude
Je dois disparaître dans le noir
Pour qu’un jour je puisse bien te revoir

Ce n’est pas qu’un au revoir
C’est un adieu qui fait mal
J’aimerais bien te revoir
Mais, nos âmes on eu trop mal
Même si tes lèvres
Ont fait de moi
Un éclat de toi
Tu ne seras plus auprès de mes rêves

Je veux mourir de solitude
Faire devenir mon habitude
Tout doit disparaître dans le noir
Même si j’aimerais bien te revoir
Mais…
Je veux mourir de solitude
Faire devenir une attitude
Je dois disparaître dans le noir
Pour qu’un jour je puisse bien te revoir

J’ne veux te dire au revoir
Mais, l’adieu est nécessaire
J’aimerais bien te revoir
Mais, nos êtres n’auraient plus d’air
Je veux mourir de solitude
Tellement que la vie est rude
Même si ta gloire
A fait de moi
Un éclat de toi
Je dois disparaître dans le noir
Je veux mourir de solitude
Tellement que cette vie est rude
Même si ton cœur
A fait de moi
Un éclat de toi
Je veux mourir sans avoir peur

Pour l’être aimé…

Quand les anges se déchirent
Nous devons des ombres
Quand les diables flambent de rire
Nous sommes fontaines de pleures
Mais, je ressens l’émoi
Devant les Puissances du dedans
Et je perçois la foi
Quand tu touches et transcendant

Les ogres se sont entretués
Quand les parents du P’tit Poucet…
Même si l’immortalité…
La Sirène sait qu’elle a aimé
L’aiguille te touche… pour cent années
Doit dormir ou le Prince aimé…
Et si la pomme est poison lié
Au sang… et le Prince d’un baiser…
Souviens-toi que ce monde a changé
Et devenir l’Enfer pour l’être aimé

Comme les louanges des êtres purs
Nous devenons lumières
Comme les archanges qui murmurent
Nous sommes fontaines de pleures
Et, je ressens l’émoi
Devant ces Puissances du dedans
Et je perçois la foi
Qui coule et me rend transcendant

Les ogres se sont entretués
Quand les parents du P’tit Poucet…
Même si l’immortalité…
Arielle sait qu’elle a pu aimer
L’aiguille te touche… pour cent années
Doit dormir ou le Prince aimé…
Et si la pomme est poison lié
Au sang… et le Prince d’un baiser…
Souviens-toi que ce monde a changé
Et devenir l’Enfer pour l’être aimé
Et même si ces fables on existé
Les meurtres sont là pour nous les rappeler
Nous sommes nés pour que nous puissions aimer
Même si nous devons mourir d’un long baiser
C’est de cela que nous sommes faits :
Aimer de la façon dont on naît…

Mais, tu sais que…

Tous les pouvoirs ne sont que servitudes
Ces combats le poussent à le déterrer
Mais, comme un chagrin qui ronge cette attitude
Il ne faut pas provoquer le passé

Mais, tu sais
Le monde
Se voile
Comme la clarté
Mais, tu sais
Le temps se
Consume
Comme l’éternité
Derrière le Ciel
Il semble respirer
La peine
Mais, tu sais
Que j’ai rompu
Cet acte avec
Cet étranger
Mais, tu sais…

Que la plupart des gens
Se valent d’être plus qu’aimant
Mais, regarde plus en eux
Et tu verras qu’ils sont vieux

Mais, tu sais
Le monde
Se voile
Comme la saleté
Mais, tu sais
Le temps se
Perturbe
Comme l’étranger
Derrière le Ciel
Il semble respirer
La haine
Mais, tu sais
Que j’ai rompu
Ce pacte avec
Cet éternité
Mais, tu sais que…

Rendez-moi la vie :

Entité macabre, incandescente
Attirée par l’astre environnante
Aussi maquillée
Qu’elle s’est balafrée

Entité instable, alternative
Installée dans l’astrale négative
Qui s’en est allée
S’est enténébrée

Mais laissez-moi partir
Je veux redevenir…
Laissez-moi m’embellir
J’veux pouvoir devenir…
Mais rendez-moi la vie
Même fêlée,
Même brisée
Rendez-la moi ainsi
Que je sombre
Dans les ombres

Lumière vitale, incandescente
Arbitrée par l’arme refroidissante
Ainsi dévastée
Par la main d’épée

Entité passable, instructive
Tiraillée par l’ombre négative
Qui s’est installée
L’a enténébrée

Mais laissez-moi partir
Je veux redevenir…
Laissez-moi m’embellir
J’veux pouvoir devenir…
Mais rendez-moi la vie
Même fêlée,
Même brisée
Rendez-la moi ainsi
Que je plonge
Dans les songes

Mais laissez-moi partir
Je veux redevenir…
Laissez-moi m’embellir
J’veux pouvoir devenir…
Mais rendez-moi la vie
Même fêlée,
Même brisée
Rendez-la moi ainsi
Que je erre
Dans la lumière

Mais qui est là ?

- Chut ! Il ne faut pas parler
- Quoi ? Qu’arrive-t-il encore ?
- Entends-tu mon cœur craqué ?
- Crois-tu qu’il y a un corps ?
- Comme l’étau serrant l’être
- Je somnolais à l’instant
- Chut ! Faut pas apparaître
- D’accord ! Je vais attendre…

- Chut ! Arrêtes-toi de bouger !
- Oui, ne t’inquiètes pas pour moi
- Écoutes ce bruit sourd, boisé
- Je suis immobile… sans voix
- Comme l’écho d’une façade
- Tu as raison, ce bruit
- Chut ! Faut pas apparaître
- Penses-tu qu’on pourrait fuir…?

- Hey ! Mais qui est là ?
- Mais tais-toi pauvre fou !
- Qui que vous soyez ?
- Mais arrêtes de parler !
- Allez, montre-toi !
- Tu vas te prendre des coups…

- Ça faisait longtemps que je vous attends
Je vous tue…

Maudits :

L’amour est ce qu’il y a de plus pure
Il est aussi léger qu’il peut mourir
Dans le ciel
Tout est éternel
L’atmosphère
Ne comporte plus d’air

Maudits…
Maudits…
Nous le sommes tous
Maudits
Maudits…
Maudits…
Nous mourons tous
Maudits
Maudits…
Maudits…
Nous le sommes tous
Maudits
Maudits…
Maudits…
Nous serons tous
Maudits

L’amour est si proche de nous qu’il est rare
Il est notre essence qu’il peut flamber
Dans nos terres
Tout est si mortel
Terra sphère
Ne consomme plus d’air

Mélodie :

Je suis mélodie
La mélancolie
Tout me pénètre
Tout l’obsolète
Rien ne m’arrête
Moi je me jette…

Au loin de tous les vents
Si loin qu’il m’est de temps
En temps indisponible
De trouver une seule cible

Je suis mélodie
Grande nostalgie
Tout m’est vertige
Hausse à la tige
Rien n’est facile
Je me profile…

Difficile dans notre temps
Trop facile… prendre notre temps
Au temps indisponible
De trouver une seule Bible

Je suis mélodie
Mélodie… appelle-moi !
Je suis difficile
Mélodie… répond-moi !
Je prie Mélodie
Que ton courage, ta foi…
Ode à Mélodie
Ode à l’infinie…

Une messe pour tes yeux :

Que nous arrive-t-il ?
Devons-nous tous mourir ainsi… ?
Pourquoi nous grise-t-Il ?
Sommes-nous des pantins de Gandhi… ?
Non, non, non…
Il faut nous en échapper
Non, non, non…
Je te sauverais d’l’épée
Non, non, non…
Il faut s’en débarrasser
Oui, oui, oui…
Que crève ce con nommé Dieu

Je dis une messe pour tes yeux
Qu’Il t’entende au loin des cieux
Je dis cette messe pour tes yeux
Qu’elle te couvre de mille feu
« Laissez-le vivre,
Qu’il puisse survivre
Ne le ramener pas à Lui
Qu’il puisse se rendre compte que sa vie… »
Je dis une messe pour ses yeux
Qu’Il l’entende au loin des cieux

Mais, que m’arrive-t-il ?
Je sens ma voie s’envoler
Pourquoi me grise-t-Il ?
Si j’t’ai permis de voler
Non, non, non…
Il faut t’en échapper
Non, non, non…
Je te sauverais d’l’épée
Non, non, non…
Il faut s’en débarrasser
Oui, oui, oui…
Que crève l’ignoble nommé Dieu

Le précepte des incultes :

Tout noir dans la nuit
Qu’ils vivent tous ainsi
Belle étrange rêverie
Qui renaît dans la nuit
Pour tout ton être
Je te laisse bête

Tout noir dans la nuit
Qu’ils vivent tous ainsi
Belle pénurie de la vie
Qui renaît dans la nuit
Pour tout ton être
Je te laisse bête

Tout noir dans la nuit
Qu’ils vivent tous ainsi
Belle absence de l’Ami
Qui re-meurt dans la nuit
De tout mon être
Je te laisse bête

Tout noir dans la nuit
Qu’ils vivent tous ainsi
Belle étrange rêverie
Qui renaît dans la nuit
De tout mon être
Je te laisse bête

Firmament :

Nous sommes tous des étoiles
Planètes mortes depuis des millénaires
Comme l’ombre couchant la toile
Tous nos sens s’anamorphosent en chairs
Et s’il faut
Pour nous
On se détruirait
Et si l’eau
Se saoule
On s’est séparé

Au loin dans l’univers
Étoiles de prière
Qui nous prend l’astre entière
Explose en poussière
Au loin dans l’univers
Étoiles de prière
Comme partout l’astre d’antan
Erre dans le firmament

Filons comme toutes ces étoiles
Pour se crasher dans leur linéaire
Comme l’aube couchant l’étoile
Tous nos cœurs se prévalent d’être chairs
Et s’il faut
Pour nous
On se détruirait
Et si l’eau
Se saoule
On s’est séparé

Au loin dans l’univers
Étoiles de prière
Qui nous prend l’astre entière
Explose en poussière
Au loin dans l’univers
Étoiles de prière
Comme partout l’astre d’antan
Erre dans le firmament

Consentements :

Un…
Comme quand tu me l’avais demander un soir de peine
Le monde s’était couché pour nous laisser hors d’haleine
Même si au plus profond de moi je l’aurais désiré
Je ne peux être de nouveau près de ton être délaissé

Deux…
Émeraude sans autre artifice qu’un sensuel d’âme
Ma fêlure s’ouvre de nouveau avec lui : mon âme
Même si au plus profond de moi je l’aurais désiré
Saurait-il capable de pouvoir me voir autre qu’amitié

Et se sont, là, mes consentements
Mis à nue, et, mes ressentiments
Mais se sont, là, mes consentements
Dans le feu, je jette mes sentiments

Trois…
Entouré dans un noir d’encre qui ficelle mon âme
Et me transforme en ombre qui erre sans aucune âme
Même si au plus profond de moi je l’aurais désiré
La lumière est pour moi souffre douleur et délaissé

Quatre…
Émeraude sans autre artifice qu’un sensuel d’âme
Ma fêlure s’ouvre de nouveau près de son âme
Même si au plus profond de moi je l’aurais désiré
Saurait-il capable de pouvoir me voir autre qu’amitié

Et se sont, là, mes consentements
Mis à nue, et, mes ressentiments
Mais se sont, là, mes consentements
Dans le feu, je jette mes sentiments

Écoute bien mes consentements
Mis à nue sans mes ressentiments
Alors écoute mes consentements
Et si tu n’veux de mes sentiments
Je les jetterais dans un feu de sang

Tromperie :

Se décliner de tous les maux
S’arracher de tous les vents
Quand tout nous fait défaut
L’apparence est au vent
Se décharner de tous les temps
S’amarrer de tous les eaux
Quand tous nous soufflent au vent
L’apparence est notre peau

Mais laissez-nous nous apaiser
Laissez-nous nous décider
Et laissez-nous nous arracher
Laissez-nous nous inonder

Toute la vie n’est
Qu’une simple tromperie
Même si tout n’est
Qu’un paradoxe, dit-
Moi que les mots
Ne sont dans la vie
Même si tout n’est
Qu’une simple tromperie
Sache qu’il nous faut
Qu’on soit dans la vie
Même si tout n’est
Qu’une simple tromperie
Mais moi je n’ai
Qu’une seule agonie
C’est que tout n’est
Qu’une simple tromperie

Paradoxalement, tous les maux
S’apprivoisent de tous les vents
Quand tout nous fait défaut
L’apparence est au vent
Indéniablement, tous les temps
Se trament de tous les eaux
Quand tous nous soufflent au vent
L’apparence est notre peau

Mais laissez-nous nous apaiser
Laissez-nous nous décider
Et laissez-nous nous arracher
Laissez-nous nous inonder

Charismatique :

Charismatique
Elle est dans ma peau
Charismatique
Tout se flou dans l’eau
Antipathique
Elle prouve tous les maux
Antipathique
Que se soufflent les mots

Hey…
Passe ton chemin
Il n’est pas trop tard pour te taire
Hey…
Passe tes misères
Que tout se gèle dans ton affaire
Hey…
Passe ton chemin
Il n’est pas trop tard pour te taire
Hey…
Dissous tes mystères
Que tout se meurt dans l’atmosphère

Charismatique
Elle t’ouvre dans la peau
Charismatique
Tout se saoule dans l’eau
Antipathique
Elle ouvre tous tes maux
Antipathique
Que se saoulent tes mots

» Les oeuvres de Melinda
» Phatia CARRINGTON
» Fiche de Phatia CARRINGTON